Séminaire d’études 2023 Alès (30) et visioconférence Les genres (Masculin – Féminin) dans les contes merveilleux du domaine francophone
Interventions sur les journées suivantes : Le 27 janvier sur le thème de « la belle endormie », le 17 février sur le thème de « la jeune fille aux mains coupées », le 31 mars sur le thème de « Jean de l’ours », le 12 mai sur le thème de Psyché et Eros, le 23 septembre 19eme Rencontre du CMLO intitulée Féminin, masculin et au-delà dans la littérature orale
Le 27 janvier 10h 30
La belle endormie que nous dit-elle derrière ses yeux clos ?
Le 17 février – 15h30 Un regard sur l’impact et les enjeux qui se révèlent dans le conte de la jeune fille aux mains coupées. Que nous revoie t- il sur notre intériorité et les différents niveaux de compréhension du féminin et du masculin ?
Le 31 mars de 14h30-15h30 Jean de l’ours : le courage d’ intégrer sa part animale, de l’instinct à la conscience Jean de l’ours a été l’un des contes que j’ai le plus conté au début de ma carrière, il a été révélateur tant par les réactions intérieures qu’il m’a provoquées que celles produites sur le public, c’est l’un des contes les plus anciens et les plus troublants, il nous apporte des clefs essentielles sur notre relation à nos profondeurs et au monde extérieur, sur nos parts féminine et masculine. Il est empli de mystère et de puissance. Pourrons-nous soulever le voile de sa magie et révéler certains de ses secrets ?
Le 12 mai de 11h30 à 12h30 : Psyché et Éros « Quand Venus s’en mêle » : À partir de ce mythe nous nous tenterons de comprendre les fondements profonds de la société méditerranéenne, et toutes ses dérives dans la relation homme-femme, mère-fils, belle mère-belle-fille…
Le 23 septembre à 14h30 pour la 19eme Rencontre de septembre du CMLO intitulées Féminin, masculin et au-delà dans la littérature orale
« Dans un monde dont les valeurs changent, les contes restent un point d’appui sur la loi cosmique universelle et donnent du sens et du bon sens dans une société désarticulée, si l’interprétation qu’on en fait ne passe pas les barrières sociales et contextuelles qui sont parfois figées dans une vison étriquée patriarcale, nous risquons de perdre pour toujours les trésors d’une tradition de sagesse qui va au delà de la forme vers une dimension verticale et qui nous relie entre ciel et terre. Que nous enseigne la nature, notre nature profonde à travers ces contes millénaires ? »
